Pourquoi tant de larmes, de pleurs, de jérémiades. Le
Bioscope finit dans quelques jours une carrière peu glorieuse; mal
emmanchée; mal menée et malmenée. Qui croyait vraiment en ce parc si ce
n'est sa conceptrice d'origine, Josiane Lenormand (la seule à avoir tiré
les marrons du feu) et le ci-devant sénateur Haenel, aujourd'hui à
Paris, loin de l'Alsace, dans un quelconque "machin" de la République.
Une vie pitoyable, une fin calamiteuse.
Et tout cela avec de l'argent public à profusion. Et une très timide remarque de la Cour des Comptes, pourtant toujours prête à pourfendre le mauvais usage de la manne publique.
C'est bien triste tout cela et renvoie de l'Alsace une image peu flatteuse.
Et si dans la presse on s'épanche aujourd'hui, ce n'est qu’hypocrisie. La presse locale a tout fait pour soutenir à bout de bras (et de pub) le Bioscope, mais la réalité du produit ne peut être camouflée aux yeux du public.
Un mauvais concept, un mauvais produit ne peuvent pas attirer le monde.
Le Bioscope a souffert de tout cela. Qu'on en finisse donc et que l'on passe à autre chose.
Mais le challenge à relever est de taille: quoi faire de ce cadeau empoisonné ?
Une vie pitoyable, une fin calamiteuse.
Et tout cela avec de l'argent public à profusion. Et une très timide remarque de la Cour des Comptes, pourtant toujours prête à pourfendre le mauvais usage de la manne publique.
C'est bien triste tout cela et renvoie de l'Alsace une image peu flatteuse.
Et si dans la presse on s'épanche aujourd'hui, ce n'est qu’hypocrisie. La presse locale a tout fait pour soutenir à bout de bras (et de pub) le Bioscope, mais la réalité du produit ne peut être camouflée aux yeux du public.
Un mauvais concept, un mauvais produit ne peuvent pas attirer le monde.
Le Bioscope a souffert de tout cela. Qu'on en finisse donc et que l'on passe à autre chose.
Mais le challenge à relever est de taille: quoi faire de ce cadeau empoisonné ?
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